Trading card #34/44

Posted by | Posted in PROMO | Posted on 23-03-2010

Ne vous inquiétez pas. Je n’ai pas l’intention de vous révèler que ce promo-shot est issu d’une scène coupée au montage… Car il faut bien avouer qu’une telle situation dans le film prêterait plus à rire qu’autre chose! C’est bien simple, à part la sympathique guide touristique, l’ensemble des visiteurs semblent peu perturbés par l’apparition d’un requin blanc de plus de 9 mètres dans les eaux claires du lagon artificielle. Doit on en déduire que ce Bruce III n’est pas spécialement impressionnant? Certainement conscient du faible potentiel commercial d’une telle photographie, Universal n’a que très rarement exploité ce matériel. On le retrouve ,entre autre,  dans les pages du pressbook japonais et au verso de quelques VHS (japonaises bien évidemment) .

Le verso 3d de cette énième carte à collectionner est particulièrement intéressant. On y voit (pour peu qu’on ait chaussé sa paire de lunettes anaglyphe) la destruction de l’attraction Jonah and the whale. Une scène absente du film même si Calvin Bouchard  fait clairement référence à l’incident lors d’ une mémorable ligne de dialogue. Pourtant il est possible qu’une telle séquence ait été tournée puisqu’il existe deux photographies montrant l’attaque de cette portion de l’ Undersea Kingdom (celle avec la structure osseuse) par le requin. La première est visible sur la boite du Jaws 3D Shark de Tomy et l’autre sur un des jeux Viewmaster. Nous y reviendrons très prochainement.

Jaws 3D Workprint (clip 4″35)

Posted by | Posted in AUDIO/VIDEO | Posted on 22-03-2010

Trois extraits d’une  copie de travail de Jaws 3D sont depuis quelques semaines disponibles sur la toile. Ce matériel n’est pas, pour autant, inconnu des fans du film puisqu’on le trouvait au début des années 2000 en supplément sur les DVD-R des versions 3D (en LCD shutter glasses) tirées du VHD japonais. Comme vous allez pouvoir le vérifier, ces scènes utilisent des bouts de la musique écrite par John Williams pour Jaws 2 et le moins qu’on puisse dire c’est que ce petit changement  modifie de façon drastique la tonalité de ces séquences…

La première d’entre elles concerne la mort de Shelby Overman. Contrairement à la version définitive, elle nous offre un plan en POV du requin (ce qui, à mon avis, amoindri considérablement l’effet de surprise) et une image presque subliminale du monstre quelques secondes avant qu’il procéde à l’attaque. L’absence d’effets spéciaux finalisés nous prive, quant à elle, du bras coupé. On notera aussi la disparition des petits poissons ( ceux qui jouent avec les nerfs du bodybuilder) et du plan de la grille vu de côté.

La deuxième scène se déroule lors de l’attaque du bébé requin à proximité du Spanish Galleon . Montée d’une façon radicalement différente, elle nous impose une vision d’horreur: Mike et Kathryn chevauchant deux dauphins en bois tractés par un bateau… La séquence est surtout intéressante pour les quelques lignes de dialogues supplémentaires et pour cet aileron s’éloignant paisiblement du portail. On remarquera que le passage où Bess Armstrong lâche prise n’apparait pas dans cet extrait.

La Night Capture Scene bénéficie quant à elle d’ un effet 3D complètement inédit montrant le Docteur Morgan plaçant une aiguille géante au bout de son bâton. Un ajout qui n’aurait pas ralenti le rythme soit dit en passant. Le reste de la séquence est sensiblement raccourcie et passe sous silence les tensions entre Mike et Calvin.

VHS France 1995 / Benelux 2000

Posted by | Posted in AUDIO/VIDEO | Posted on 21-03-2010

« Romain, je viens de me procurer une VHS des Dents de la mer 3 datant du milieu des années 90 qui contient une photo complètement inédite au verso (en bas à gauche). Pourrais-tu nous en parler? » Quel plaisir de revenir sur ces objets qui ont bercé mon enfance! La VHS dont tu parles a été commercialisée en 1995 pour le compte d’ Universal/CIC. Elle est l’une des rares vidéocassettes (et certainement la première dans l’hexagone)  à respecter le format d’origine du film… Au niveau du visuel, pas de surprise: la merveilleuse affiche de Gary Meyer et le synopsis un peu trop généreux en révélations ont bien évidemment été conservés! Au rayon des déceptions, notons quand même ce titre affublé d’une ignoble police d’écriture ou cette photo inversée de la control room . Sans parler de ce cliché « complètement inédit » d’une femme attaquée par un squale affamé. Une photo tout droit sortie de… JAWS 2.

Tant qu’on y est, accordons un peu de place à l’une des dernières VHS a avoir été distribuée en Europe. L’exemplaire dont il est question nous vient directement du Benelux (d’où la présence d’un logo 16 rouge) et s’est retrouvé dans les bacs en 2000. A l’instar de la référence française sortie 5 ans plus tôt, cette vidéo contient le film dans son format respecté, doublé en français  et en HI-FI Stéréo. Le tout agrémenté d’un somptueux artwork que l’on doit bien évidemment aux gens d’ Universal . Sachez que ce visuel est encore largement utilisé de nos jours pour une grande majorité des DVD européens depuis 2005…

A Jaws Companion (Patrick Jankiewicz) 2009

Posted by | Posted in PRESSE | Posted on 18-03-2010

Patrick Jankiewicz est loin d’être un novice dans le domaine de l’écriture; les magazines Starlog, Fangoria, Starburst et Film Review ayant à de nombreuses occasions fait appel à ses services. Grand fan de Jaws devant l’éternel, Patrick a consacré un an de sa vie sur cet objet de plus de 230 pages qui se révèle être un excellent complément aux nombreux ouvrages déjà réalisés dans le domaine car contrairement à ce qu’on a l’habitude de lire, Just when you thought it was safe: A Jaws Companion offre une place non négligeable aux nombreuses suites, rip-offs et projets avortés (dont le Jaws 3 People 0 de Dante). Le tout abondemment illustré par de magnifiques photographies noir et blanc. Malheureusement, le livre est dans l’ensemble assez méchant avec le film de Jeannot Szwarc et particulièrement odieux avec celui de Joe Alves ce qui, à mon sens, est une erreur. De plus, il contient un certain nombre d’erreurs impardonnables comme celle de laisser sous-entendre que Jaws 3D nie les évènements de Jaws 2…

Mais ne jouons pas les fines bouches pour autant. Grâce au travail de Jankiewicz, nous avons là une chance unique de profiter d’interviews riches en informations de nombreuses personnalités liées à la franchise telles Alves, Gottlieb, Matheson, Putch, Mazzocone, Landis et Arbogast (pour ne citer que ceux de la Jaws 3D Crew).  Bien évidemment, les 15 pages à la gloire de notre si cher troisième volet n’apaiseront pas notre soif de connaissance mais c’est déjà énorme si on compare avec la faible place accordé au film de Joseph Sargent. Esperons qu’un jour, l’auteur puisse nous livrer l’intégralité des entretiens qu’il a brillamment mené… En tout cas, je vous invite à vous procurer ce livre (au prix attractif de 19.95$) rapidement avant qu’il ne disparaisse subitement de la circulation.

Carl Gottlieb fête ses 72 ans

Posted by | Posted in INFOS | Posted on 18-03-2010

Le scénariste des Dents de la mer (à gauche sur la photo en compagnie de Joe Alves) fête aujourd’hui son 72ème anniversaire. Un évènement que l’on se devait de traiter comme vous pouviez vous en douter On ne le répètera jamais assez mais Carl Gottlieb fait vraiment  partie de ces artistes polyvalents capables de démontrer autant de talent derrière que devant la caméra. Son interprétation sans faille de Meadows (le journaliste de la gazette locale d‘Amity) dans le film de Spielberg en atteste. Mais l’homme est surtout reconnu pour la qualité de ses scénarios (en particulier ceux de la sainte trilogie), son livre Jaws Log (considéré comme une authentique bible par le réalisateur Bryan Singer) et l’irrésistible Caveman qu’il réalise en 1981 (sa première collaboration avec Dennis Quaid soit dit en passant).

Au sujet de Jaws 3-D, Carl Gottlieb se montre assez discret. Seul le journaliste Patrick Jankiewicz parviendra à lui faire rompre le silence à l’occasion de son sympathique A Jaws Companion sorti en 2009. Au sujet de l’écriture, Gottlieb avoue: « I tried to make Dennis Quaid, Lea Thompson and Bess Armstrong’s characters believable and fun. I tried to work with the cast and write for them, because by that time, I knew who was gonna be in the movie. That’s luxury for a writer because sometimes you don’t know who’s in the picture. If you know who you’re writing for, it’s easier and more fun. »  Quand la question de la 3D est abordée, Gottlieb se montre moins tendre: « The problem with 3-D scenes is they have to be planned so meticulously in advence that I think Jaws 3-D is a movie that was sunk from it’s planning. They organized the whole pictures around the concept of a theme park because they wanted to control costs and didn’t want to shoot on the open ocean. It made sense as a logistical idea, but it was tough to execute. »

Gottlieb continue:  « They had this idea of an underwater floating control chamber and after all that conceptual work was done, sets were built and the scenes of the shark swimming at the camera had been planned, sketched and storyboarded, so you couldn’t change that. There really wasn’t much you could do, they had all that stuff laid out, it was like: This is what you got’ so you had to write around that. It’s like a Roger Corman movie where he’s got footage of the riot or the plane exploding and four days of footage of Transylvannia and he says ‘Here write a vampire movie around it! » Des  commentaires assez dures qui devraient blesser le fan qui sommeil en nous  mais puisque c’est son anniversaire nous lui pardonnerons absolument tout! Happy Birthday!

Louis Gossett Jr (archives novembre 82)

Posted by | Posted in INFOS | Posted on 17-03-2010

Le tournage de JAWS 3-D n’ayant pas engendré de troisième Jaws Log, il est par conséquent assez difficile pour le fan d’ établir une chronologie des évènements. Pour tenter d’y voir plus clair, les curieux peuvent toujours se mettre à la recherche de journaux locaux d’époque qui peuvent apporter des pièces importantes à cet immense puzzle. En témoigne cette coupure presse datée du 8 novembre 1982 qui revient sur un petit problème de santé rencontré par  Louis Gossett Jr plus tôt dans la journée. Ces soucis -des douleurs à la poitrine et à l’estomac- ne l’auront éloigné des plateaux que pour quelques heures… La dépêche est aussi intéressante parce qu’elle laisse au producteur  Rupert Hitzig le soin de s’exprimer. Et dieu sait que la parole d’un membre de la Jaws 3D Crew est précieuse! Je termine en vous laissant l’occasion de survoler d’autres articles racontant plus ou moins la même chose. Je suis conscient que la multiplication des sources n’apporte rien de particulier mais je sais  que la plupart d’entre vous adorent ce genre d’initiatives!

Trading-card #33/44

Posted by | Posted in PROMO | Posted on 14-03-2010

Scène de panique sur l’une des plages artificielles du SeaWorld d’ Orlando!!! Au premier plan, l’ aventurier/réalisateur  Phillip FitzRoyce (Simon MacCorkindale) pataugeant dans les eaux désormais  mortelles du lagon. A l’arrière plan, des touristes  abasourdis dont un rouquin en fuite au slip de bain transparent (d’ailleurs on reconnait le rouquin aux cheveux de son père et le requin aux dents de sa mère)… Le tout nous donne une photographie, certes, pas très excitante mais suffisamment rare pour susciter un intérêt particulier. Pour les curieux, des images du tournage de cette scène sont disponibles sur l’indispensable making-of de Mark Grossan.

Au dos, on retrouve ce qui est désormais la marque de fabrique de cette collection Jaws 3D: des visuels anaglyphes complètement originaux qui n’ont strictement rien à voir avec le film… Inutile donc d’user de la télécommande pour localiser sur votre DVD ce jeune couple (complètement différent de celui de la trading-card#30), ce radeau pneumatique et cette magnifique mouette sous la menace directe d’un gigantesque squale (la taille de son aileron en atteste).

L’année du Cinéma 1984 (France)

Posted by | Posted in PRESSE | Posted on 11-03-2010

Pas toujours facile d’alimenter un site comme celui-ci… Et pourtant, ce n’est pas l’envie qui manque. Mais il faut bien se rendre à l’évidence que la majeur partie de ma collection a déjà été traitée ici même et qu’à moins qu’ Ebay soit inondé par de nouveaux produits estampillés Jaws 3D dans les semaines à venir nous devrions nous retrouver dans une impasse bien avant l’été… Mais c’est sans compter sur la générosité de certains habitués des lieux qui régulièrement me font parvenir des documents inestimables… Comme cet ouvrage L’année du Cinéma 1984 (calman-levy) qui contient dans ses nombreuses pages un véritable trésor: une critique positive des Dents de la mer n°3 de Joe Alves!!! Oui, vous ne rêvez pas et je vais me faire une joie de vous le prouver par l image:

Mais comment faire confiance à l’auteur de ces quelques lignes quand on voit sa capacité à nous parler des flots de sang vomit par la maison hantée d’ Amityville 3 alors que ces derniers sont complètement absents du long-métrage de Richard Fleisher? Sa crédibilité est aussi mise à rude épreuve quand il mentionne l’existence d’un très étrange  « attraction cinématographique » qui aurait été imprimé sur les affiches de cinéma US mais dont personne ne semble se souvenir… Mais ne boudons pas pour autant notre plaisir de lire quelque chose de gentil sur notre film préféré et remercions Alex pour ce petit cadeau réservé avant tout aux fans francophones.

Interview Daniel Symmes (DIMENSION 3)

Posted by | Posted in INFOS | Posted on 06-03-2010

Il est très justement surnommé The Wizard of Stereoscopy ou encore Mr 3D et le moins qu’on puisse dire c’est que ce vétéran du Vietnam n’a jamais démérité de tels titres honorifiques. Réalisateur, caméraman et écrivain/historien, Daniel Symmes possede sa propre entreprise DIMENSION 3 et a, par la force des choses, participé a de nombreux classiques du cinéma 3D. Sa carrière, il la débute à travers le Soft-Porn The Stewardesses en 1969 (dont le DVD devrait rejoindre toute collection qui se respecte soit dit en passant) puis enchaine avec ce qui reste l’un des moments les plus importants de sa vie: la ressortie en salles de House of Wax en 1971 et sa collaboration avec le réalisateur André de Toth. On le retrouve ensuite aux génériques de nombreux long-métrages comme International Stewardesses, A.P.E (en France: King-Kong revient) ou encore Spacehunter. Plus récemment, on a pu profiter de son travail sur le remake 3D de Night of the Living-Dead… Depuis près de 40 ans, Daniel Symmes consacre sa vie à sa passion alors quand il s’agit de prendre 5 petites minutes de son temps pour répondre à quelques questions à propos des tests de Dimension 3 effectués pour Jaws 3D l’homme répond évidemment présent!

 « I will NOT tell how Alves coerced Bruce to roar! » annonce d’emblée The Wizard.

When were you approached by Universal for Jaws 3d?
I don’t recall the date, though I’d have that SOMEWHERE in my records. Maybe MAY ’82?
There was a 3D bakeoff between 3D systems and I won
.
You made tests with the Dimension 3 system in Florida in 82 for this movie. Do you remember the shooting? What particular scenes were being shot? Were you already working from a script?
The film we did was from scenes from the script, but with extra talent playing the parts. The purpose of the film was to prove to Universal the Landsburg/Alves team could do it. It was all exterior at Seaworld (though we did a shot through a viewing window at the sharks).


Were there already discussions about shooting with blue screens and miniatures?
Not with me. That was to be handled by other parties (which I knew).
Sadly, the live action in the film is a total mismatch to the motion control shots
.
In a 1983 Cinefantastique issue, you’re stating that according to Comandini (from Universal), the Dimension 3 system was a better system than the one that was ultimately used, the Arriflex system. What are your thoughts about the quality of the 3d in the movie, and do you regret that your system wasn’t used?
ANYBODY with film experience can spot the poor image quality (including chromatic aberration). That was made worse by lazy/improper lighting.
Why does the shark growl underwater?
Because it CAN? Because spaceships MUST make a sound? Seriously: management at Universal.

Si le procédé Dimension 3 n’a finalement pas été utilisé pour le tournage de Jaws 3D, c’est avant tout à propos d’ une sombre histoire de lentilles comme le raconte si bien Symmes dans un numéro du magazine  Cinéfantastique datant de 1983. Dimension 3 était alors dans l’incapacité financière de fournir suffisamment de lentilles à Universal . La célèbre firme pris donc la décision de rompre immédiatement toute collaboration avec Daniel Symms et son équipe pour cette seule et unique raison. Comme le souligne le principal intéressé, un simple contrat aurait permis à Dimension 3 de fabriquer le matériel nécessaire…

Je tiens à remercier The Wizard pour l’interview et sa disponibilité.

Les génériques 2-D/3-D

Posted by | Posted in INFOS | Posted on 04-03-2010

La grande majorité d’entre nous ne connait que cette seule version 2D du générique de Jaws troisième du nom. Depuis près d’une vingtaine d’années, ce eye-popping title aux chiffres romains se retrouve de façon presque systèmatique sur  nos copies vidéos et sur celles destinées à la télévision. Même les pays européens ont progressivement abandonné leurs exotiques LO SQUALO 3, DER WEISSE HAI 3 et autres DENTS DE LA MER 3 pour ce dernier. Mais pour le fan un seul logo ne trouve grâce à ses yeux: l’original.

Déjà responsable des génériques de Friday the 13th part 3, The Man who wasn’t There et de Metalstorm, Celestial Mechanix (une société appartenant à Bob Benderson) se retrouve chargé d’offrir aux spectateurs de quoi les faire bondir de leurs fauteuils! « The first element is to get a very good piece of artwork, like our artists Jay Allen and Laurie Schweitzer created » se confie le vice-président Sean Phillips au magazine Cinefantastique au milieu de l’année 83. »We bottomlit the artwork and shot it on an animation stand. To produce a streak we moved it during each exposure, which creates an illusion of blurring. »  Cette animation a ensuite été composée avec des images sous-marines par Mark Sawicki. Si l’effet relief est particulièrement saisissant c’est avant tout grâce à sa relative simplicité: « Starting from behind the screen, reaching the point of the screen and then going out closer to the audience is a lot harder to do. We find you get more of an illusion off the screen if you avoid depht cues behind the screen at the same time. It’s easier to bring it off the screen if you start with the converged screen reference, rather than trying to do everything at once.  » ajoute Phillips.

Pour parvenir à un tel résultat d’autres éléments étaient à prendre en considération: « Type is so abstract, that your eye doesn’t automatically size in up. Mixing elements behind and in front of the screen plane in the same shot can create a bit of ambiguity You’re always walking between having the type collapse back, and really jump out at you. » . Le fond se révèle aussi être un élément primordial: « You need a strong reference, something your eye can compare the type to. If it’s against anything that is too much of a void- a solid color or something washed out- it will tend to collapse the image. » . Même le graphisme 3D du lettrage (assez proche du travail accompli sur le troisième Friday the 13th) contribue grandement au résultat final: « It’s important to constantly reinforce your depht cues going back to the screen. On Jaws 3D, the final credits are just as displaced as the main titles, but you are not aware of it because they don’t actually shoot out at you.« .

Si il y a bien quelque chose qui ne risque pas de sauter au visage du pauvre spectateur, c’est bien cet horrible logo réservé avant tout à la télévision américaine. La copie du film est, même en dehors du générique, proprement hallucinante et mériterait, soit dit en passant, un article complet sur ce site…