Film Review vol 34 (janvier 1984) UK
Posted by PRESSE | Posted on 10-10-2009
| Posted inMon assistante tient fièrement entre ses mains le numéro de janvier 84 du très célèbre Film Review. Cette publication dédiée au cinéma est la première et la plus ancienne du Royaume-uni. Comme vous vous en doutez, nous passerons complètement sous silence ce bon vieux Sean Connery et son Never say never again pour nous focaliser plutôt sur les 4 pages consacrées à Jaws 3D.
D’emblée la couverture nous annonce la couleur avec son intriguant « Shark Shocker with an added dimension ». Un rapide coup d’oeil au sommaire pour ne pas gaspiller notre temps et direction la page 26 pour profiter du travail effectué par nos voisins britanniques.
A mi-chemin, on tombe sur cette publicité. Depuis notre article sur les AD-SLICK, ce genre de promo n’a plus aucun secret pour vous. Vous pouvez vous amuser à vérifier mais ce visuel précis n’était pas dans la planche U.S. Quoi qu’il en soit, un tel document nous permet surtout de faire une chose qu’ IMDB a été incapable de faire: donner la date de sortie du film sur le territoire UK soit le vendredi 16 décembre 1983.
Signalons la présence d’une ligne invitant le spectateur à se renseigner auprès des journaux locaux pour connaitre les salles exploitant le film dans sa version plate.
On continue à tourner frénétiquement les pages jusqu’à tomber sur une interview de Simon McCorkindale intitulée Life’s far from simple for simon richement illustrée (même si les photos ne proviennent pas toutes de Jaws 3D) .
Sous le micro de Ianin F. McAsh, Simon se confie sur sa carrière, ses projets, ses ambitions et aborde légèrement le cas des Dents de la mer III décrivant brièvement son rôle et les problèmes liés à la réalisation en trois dimensions. Rien de transcendant mais toujours plaisant de lire quelques lignes sur notre film préféré. En prime, on a le droit à une photo de Simon arborant une magnifique moustache qui n’aurait pas dépareillé avec celle de P.H Moriarty.
L’article se termine avec une petite preview d’une page reprenant une partie des informations glanées dans les différents dossiers de presse. Les photos qui l’accompagnent ne sont pas des plus rares et se gardent bien de nous dévoiler le monstre. Il est intéressant de souligner que la plupart des magazines mettant à l’honneur le film de Joe Alves ne contiennent jamais de critique puisqu’ Universal ne souhaitait pas organiser de séances en avant-première aux journalistes prétextant des soucis techniques liés au relief.